1/ Votre activité au cours du mois de décembre a-t-elle été :
Très bonne :
Bonne : 50 %
Moyenne : 30 %
Mauvaise : 20 %
Très mauvaise :
Commentaires : Des résultats meilleurs que ceux que l’on aurait pu craindre, portant sur le dernier mois d’une année 2013 qui aura pourtant été définie comme terne, lors de notre dernier baromètre du 17 décembre (consultable sur ce lien). Notons que les cuisinistes indépendants, multimarques ou non, ont déclaré de meilleurs résultats que les magasins d’enseigne nationale.
2/ Et par rapport au mois de novembre ?
En hausse : 30 %
Stable : 20 %
En baisse : 50 %
Commentaires : Des scores en rapport avec ceux de la question précédente.
3/ Votre panier moyen était-il :
En hausse :
Stable : 70 %
En baisse : 30 %
Commentaires : Une tendance de fond qui se confirme, avec une stabilisation qui semble succéder à l’érosion des budgets consacrés au cours de 2013. Il faudra toutefois attendre une confirmation sur le moyen terme pour la valider.
4/ La fréquentation a-t-elle été :
Très bonne : 10 %
Bonne : 30 %
Moyenne : 30 %
Mauvaise : 30 %
Très mauvaise :
Commentaires : Des résultats équilibrés. Certains cuisinistes interrogés ont indiqué que la fréquentation est traditionnellement faible lors des fêtes de fin d’année, période peu propice à l’achat de cuisine équipée. D’autres ont souligné qu’il n’y a plus de saisonnalité et qu’il est difficile de prévoir les périodes d’affluence et celles de calme (août excepté).
5/ Les soldes de janvier ont-ils généré :
Plus de chiffre d’affaires :
Plus de fréquentation : 40 %
Les deux :
Aucun des deux : 20 %
N’a pas fait de soldes : 40 %
Commentaires : Certains cuisinistes ont précisé que les soldes servaient surtout aux consommateurs pour négocier les prix à la baisse. Y compris pour les cuisines d’expositions annoncées à prix réduits (jusqu’à 50 %). Près de la moitié (cuisinistes indépendants, multimarques ou non, pour la plupart) ont décidé de ne pas faire de soldes, estimant leurs effets nuls, voire pervers sur le reste de l’année.
6/ Pour 2014, êtes-vous ?
Pessimiste, car la situation économique va s’aggraver :
Optimiste, car la situation économique ne peut que s’améliorer : 10 %
Attentiste et fataliste, car l’évolution ne dépend pas de vous : 30 %
Combatif, car il faut trouver par nous-mêmes des remèdes anti-crise : 60 %
Commentaires : Les cuisinistes sondés ont beaucoup hésité entre les deux dernières propositions ci-dessus, la plupart refusant finalement de ne pas se résigner. Ainsi considèrent-ils ne devoir compter que sur eux-mêmes, et qu’il leur faut faire savoir leur savoir-faire en réemployant des remèdes appliqués durant la crise de 2009, et jugeant impératif de sortir de leur magasin pour multiplier les prescripteurs. Solutions appliquées : contacter les agences immobilières, relancer les mailings et la publicité locale, déposer des catalogues dans les salles d’attente des médecins, mais aussi remettre en avant leurs spécificités d’agenceurs.
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