En jargon journalistique, on appelle marronnier un sujet à la fois facile et évident, incontournable même selon ses adeptes, qui revient de manière cyclique au cours de l’année : par exemple, les repas de réveillon en décembre, les chocolats à Pâques, les régimes avant l’été et les barbecues pendant. Les cuisines d’été - également - semblent venir s’ajouter à cette liste, en raison du développement d’un marché motivé par le désir de mieux vivre aussi dans son habitat à l’extérieur, encouragé par les effets sociétaux des confinements pendant la pandémie du Covid-19. Voici quelques visuels révélant la variété de cette nouvelle offre.
Nous avons sélectionné les quatre modèles ci-dessus à droite et ci-dessous, car ils représentent la diversité déjà existante dans l’offre des cuisines d’été aussi (appelées aussi cuisines d’extérieur) dont la composition se rapproche de celle des ensembles de cuisines équipées à l’intérieur de l’habitat.
On notera que les GSB, voire des jardineries, sont déjà bien présentes sur ce marché en plein essor, qui est aussi investi par des fabricants spécialisés dans le segment du haut de gamme, proposant des blocs multifonctionnels intégrant électroménager, évier, robinet et tiroirs de rangement. C’est le cas du suisse Jérémy Cerutti et de la société néerlandaise Ofyr
J.A
Visuels :
En haut à droite : © Leroy Merlin
Ci-dessus en haut : © Eno
Ci-dessus au milieu : © Abimis
Ci-dessus en bas : © Palazzetti
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