1.Votre activité au cours du mois de juin a-t-elle été :
Très bonne : 0 %
Bonne : 20 %
Moyenne : 60 %
Mauvaise : 20 %
Très mauvaise : 0 %
Commentaires : Des résultats sans surprise sauf qu’on aurait pu s’attendre à pire... Les cuisinistes font le gros dos, sachant que ce n’est pas la première crise qu’ils subissent (cf. celle post-guerre du Golfe en 1991 et deux années suivantes)
2.Et par rapport au mois précédent (mai)?
En hausse : 30 %
Stable : 20 %
En baisse : 50 %
Commentaires : La bouteille en juin était-elle à moitié pleine ou à moitié vide ? Le contraste des réponses montre que tout est relatif, y compris la conjoncture et la façon dont chacun la ressent.
3.Votre panier moyen était-il en juin :
En hausse : 0 %
Stable : 50 %
En baisse : 50 %
Commentaires : Même constat que pour la question précédente. On y ajoutera que certains cuisinistes se félicitent d’avoir réaffirmé leurs compétences de spécialistes, leur permettant de combler la baisse de fréquentation en satisfaisant des budgets plus élevés, alors que d’autres cuisinistes se disent ravis que leur fournisseur ait mis à leur disposition une gamme plus courte mais plus attractive financièrement. Se dessine ainsi le deux pistes les plus empruntés pour sortir de la spirale de la crise.
4.Globalement le 1er semestre a t-il été :
- Très bon : 0 %
- Bon : 10 %
- Moyen : 70 %
- Mauvais : 20 %
- Très mauvais :
Commentaires : Comme pour la première question, pas de surprise ici, sauf que 10 % des sondés dressent un bilan positif d’un premier semestre que tous s’accordent à qualifier « d’incertain et d’irrégulier », les périodes dynamiques variant selon les uns et les autres. Autre unanimité : celle d’une inquiétude causée non par de mauvaises décisions gouvernementales, mais par l’absence de décision (syndrome de la baguette magique et de discours incantatoires).
5. Comptez-vous changer ou compléter vos fournisseurs de mobilier de cuisine dans les prochains mois ?
- Oui : 50 %
- Peut-être : 0 %
- Non : 50 %
Commentaires : Aucun des cuisinistes sondés n’hésite à garder ses fournisseurs ou en changer (en complétant si besoin leur offre), mais le panel se divise en revanche en part égale dans l’attitude à avoir face à la crise, entre une fidélité rassurante et le désir d’adapter son offre. C’est que celle-ci, en période difficile comme de prospérité, est certes un facteur de succès important, mais pas toujours décisif. Quoi qu’il en soit, le désir de changement n’a rarement été aussi fort, ce qui rend les cuisinistes plus faciles à séduire et plus difficiles à conserver pour les fabricants.
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